lundi 6 décembre 2010
lundi 26 juillet 2010
Facebook, "troisième Etat" de la planète
La plate-forme a été créée en 2004 par Mark Zuckerberg, encore étudiant à Harvard à l'époque et âgé de 20 ans, un an après MySpace, Last.fm, ou Orkut, et deux ans après Friendster. Ces réseaux sociaux ont tous connu le succès à un moment ou à un autre, ou le connaissent encore, mais pas dans les proportions de Facebook. MySpace, son principal concurrent, est en perte de vitesse : l'audience aurait diminué de moitié ces six derniers mois.
"Facebook a mieux réussi que les autres à interpréter les demandes des utilisateurs, surtout en termes de simplicité, en créant une interface riche permettant en peu de clics d'accéder à un monde de services qui d'habitude n'est pas à la disposition des utilisateurs lambda mais des experts (jeux, e-mail, chat, etc.)",estime Vincenzo Cosenza, spécialiste des réseaux sociaux et directeur de l'agence italienne de communication Digital PR. "C'est gratuit, simple et cela s'est énormément propagé parce que ce réseau a d'abord ciblé les étudiants pour leur permettre de correspondre entre eux. Plus récemment, les moins jeunes s'y sont également mis, et maintenant les habitants de pays non occidentaux", relève Christine Balagué, spécialiste des réseaux sociaux, professeur à l'institut Télécom.
Apparu alors que le phénomène des réseaux sociaux était en plein boom, Facebook a réussi à innover, proposant aux développeurs informatiques tiers d'adapter des programmes logiciels pour la plate-forme. Des milliers d'applications ont été rapidement disponibles pour les utilisateurs, leur permettant de personnaliser davantage leur profil ou de renforcer les liens avec d'autres (en éditant par exemple des listes de préférences, en jouant en réseau à des jeux, etc.).
Facebook a aussi réussi sa migration sur les téléphones mobiles intelligents. C'est la première application que téléchargent les détenteurs de ces terminaux. Or, dans quelques années, on utilisera plus son Smartphone pour accéder à Internet que son ordinateur.
Aujourd'hui, c'est l'effet de réseau qui marche à plein. Plus il y a d'inscrits, plus cela incite de nouveaux membres à rejoindre la communauté. La prochaine frontière, c'est le milliard de connectés. C'est celle que s'est fixée M. Zuckerberg. Ce palier pourrait être toutefois plus difficile à atteindre. Sa croissance dans les pays développés ralentit. Le réseau, d'origine américaine, a certes réussi à s'implanter dans des pays de cultures très différentes, comme les Philippines, Singapour ou la Malaisie. Mais dans les pays qu'il n'a pas encore colonisés, il y a des réseaux locaux dominants dont l'utilisation est bien entrée dans les moeurs, tels CV Kontakte et Odnoklassniki en Russie, Orkut (lancé par Google) au Brésil, Maktoob au Moyen-Orient. Il y a des pays historiquement très protectionnistes, comme la Corée, où le service Cyworld domine, et le Japon avec Mixi. Et enfin des pays où la censure empêche Facebook de s'implanter, comme le Vietnam, où le réseau social Zing s'impose, ou la Chine avec QQ.
Données personnelles
Parmi les autres fragilités de Facebook, figurent les problèmes liés au respect de la vie privée. Cette question est au coeur du modèle développé par M. Zuckerberg. Les internautes sont incités à décliner âge, sexe, lieu de résidence pour s'inscrire, puis toute leur intimité lors de leurs échanges avec leurs "amis" du réseau. Facebook va plus loin dans la connaissance de ses membres en étendant le Web social à des sites tiers. Une mine de données personnelles que le réseau social est prêt à monnayer auprès des annonceurs soucieux de cibler au mieux leur publicité.
Le groupe se refuse à donner son chiffre d'affaires mais il semble que le modèle publicitaire commence à porter ses fruits. Le cap du milliard de dollars de revenu annuel devrait être franchi en 2010. Mme Balagué ne croit pas que la question du respect de la vie privée soit de nature à déstabiliser le groupe. "Les internautes sont souvent très soucieux du respect de la vie privée quand on les interroge mais leur conduite en ligne contredit ces déclarations : beaucoup n'hésitent pas à s'épancher", souligne-t-elle.
Elle poursuit : "C'est vrai qu'il y a des gens qui commencent à se désabonner de Facebook, il y a aura un taux de désabonnement non nul, mais je ne crois pas que cela ira plus loin. Aujourd'hui, on a tant de contacts sur Facebook, tant de liens que c'est difficile d'en changer, aussi difficile que de changer de banque." Le danger viendra-t-il de Google ? Le moteur de recherche n'a pas réussi à imposer son réseau social, mais il réfléchit activement à une réplique à Facebook.
samedi 17 juillet 2010
Concurrencé par Google, Yahoo! parie sur ses contenus pour augmenter son audience
Il fut l'un des premiers "portails" de l'Internet, point d'entrée sur le Web mariant fils d'information et services (messagerie électronique, moteur de recherche). Au contraire d'un Google, qui s'imposa d'abord avec un unique service, son moteur (depuis, il s'est considérablement enrichi). Mais aujourd'hui, Yahoo! a un double problème : de rentabilité d'une part : avec des profits de 598 millions de dollars (476 millions d'euros) de profits, il l'est beaucoup moins rentable que Google (6,5 milliards de dollars). Et d'autre part de positionnement : il est de plus en plus concurrencé par Facebook.
"Une voix singulière"
Exploiter son contenu comme une "pompe à audience" est un des moyens de rester dans la course. "Le but avec Upshot est de créer une voix singulière, un élément différenciateur", explique James Pitaro, vice-président de Yahoo! Media. Pour l'instant, les ressources d'Associated Content ne sont pas exploitées pour le blog, "la société (achetée au printemps) est en cours d'intégration" précise M. Pitaro. C'est une équipe de huit rédacteurs, "des journalistes professionnels" qui se chargent des articles. Mais Yahoo! réfléchit à sa récente acquisition pour "remplir les trous" de ses autres chaînes d'information : Yahoo! Sports, Yahoo! Finance, Yahoo! Entertainement. Et même, "pourquoi pas" reconnaît M. Pitaro, pour enrichir le service Yahoo! Answers (les internautes posent des questions auxquelles d'autres répondent). Néanmoins, insiste le dirigeant, " le message que nous voulons faire passer aux journaux et aux agences de presse, c'est que nous ne sommes pas concurrents, nous voulons continuer à coopérer, intégrer leur contenu sur nos sites et partager les revenus publicitaires".
Quand les internautes dictent l'actualité
Aujourd'hui, Internet et des outils statistiques tels ceux développés par Google (Google Trends,Google Analystics) donnent la possibilité de savoir sur quels articles les internautes "cliquent" le plus, quels sont les thèmes qu'ils cherchent sur les moteurs de recherche. Des informations d'autant plus précieuses que plus de la moitié du trafic arrive désormais sur les sites de contenus à partir des moteurs.
Surfant sur cette tendance, le groupe américain Yahoo!, le portail le plus populaire du Web, a lancé, mardi 6 juillet, un blog d'articles d'actualité aux Etats-Unis, "Upshot", dont une partie des thèmes est définie non par les rédacteurs, mais par un algorithme qui pointe les sujets les plus recherchés du moment. Objectif : "Maximiser l'audience, la monétisation suivra", résume James Pitaro, vice-président de Yahoo! Media.
Anticipant un potentiel économique, Yahoo! a par ailleurs acquis au printemps (pour 100 millions de dollars, soit 79,6 millions d'euros, selon des sources non officielles), une société américaine pionnière, Associated Content, qui a systématisé ce procédé : produire des articles en fonction des requêtes sur les moteurs de recherche, dans un but strictement mercantile.
Les spécialistes des médias numériques appellent ces prestataires d'un nouveau genre des "fermes de contenus" ou des "usines à infos"."Nous produisons du contenu low cost mais de qualité" reconnaît M. Pitaro. Une forme d'industrialisation de la "pige" traditionnelle.
Sur son site Web, Associated Content, qui revendique plus de 350 000 "contributeurs", promet aux internautes désirant écrire de leur faire gagner de l'argent, et à ses clients potentiels (sites de médias, comparateurs de prix, agences de voyages...) le contenu le plus "efficace" possible.
AOL, autre grand portail américain, a lancé sa propre ferme : Seed. Sur le même principe, la société californienne Demand Media fournit en vidéos YouTube et réalise le fil "voyages" du premier quotidien américain, USA Today. Fondée en 2006, elle aurait réalisé au moins 200 millions de dollars de chiffre d'affaires en 2009.
Des sociétés européennes veulent aussi investir ce créneau. Comme GoAdv, dont le PDG, Luca Ascani, pense avoir trouvé la formule gagnante : "Nous avons constitué une base de données de 16 millions de sujets pour lesquels il y a à la fois des demandes émanant des internautes et des annonceurs potentiels pour des publicités qui seront disposées en regard."
La plupart des contributeurs ne sont pas des journalistes professionnels mais "des gens passionnés par un sujet et qui savent bien écrire" : étudiants, retraités, chômeurs, femmes au foyer... Le tarif varie de 5 à 150 euros par article, selon sa taille, les qualités supposées du rédacteur, etc. GoAdv produit 15 000 "contenus" par mois en huit langues.
Sur un principe approchant, OverBlog, première plate-forme de blogs en France, veut lancer en septembre le site "les-experts.com", mettant à contribution son vivier de 1,5 million de blogueurs. Afin de constituer, très vite, une sorte de Wikipedia valorisé avec de la publicité, se concentrant sur des articles à visée générale ou pratique. Les contributeurs sont rémunérés avec un fixe, à réception de l'article, et une partie des recettes publicitaires vendues en regard de leurs productions. Chez Suite101, société canadienne présente en France, les auteurs sont rémunérés si les publicités associées à leurs articles sont "cliquées". Où s'arrête l'information, où commence la com ? "Les articles sont écartés quand ils sont promotionnels", assure Jérémy Reboul, directeur en France de Suite101.com.
Mais ces fermes ne vont-elles pas rivaliser avec les sites d'information plus classiques et capter une partie de leurs revenus publicitaires ? M. Ascani se défend de concurrencer les journalistes."Nos articles portent essentiellement sur les conseils financiers, les voyages, le shopping". "Nous n'irons pas vers l'actualité, le créneau est saturé", estime de son côté Frédéric Montagnon, PDG d'OverBlog. C'est pourtant bien ce que commence à faire Yahoo ! avec Upshot.
Pour Danielle Attias, consultante chez Greenwich Consulting, le modèle des fermes de contenus est sensiblement différent de celui des sites d'information : "Elles intéressent les annonceurs à la recherche d'un gros volume d'audience. Les publicités y sont vendues peu cher. Deux modèles vont émerger : des portails avec des contenus produits à bas prix. Et des marques de presse qui s'imposeront sur un créneau qualitatif et vendront la publicité plus cher."
Les sites d'information fonctionnant sur un modèle gratuit pourraient être tentés, eux aussi, de privilégier les sujets susceptibles de générer "du clic". Mais certains ont conscience que ce n'est pas de ces sujets qu'ils tirent leur crédibilité. "Nous savons quels sont les articles qui marchent bien, témoigne Pascal Riché, rédacteur en chef de Rue89. Le politique polémique, le people. Nous avons publié des reportages en Afghanistan qui ont eu très peu d'audience. En même temps, nos lecteurs apprécient que de tels articles trouvent place sur le site. Cela fait partie de notre image de marque."
Se lancer dans la course à l'audience peut même se révéler contre-productif. "Ce sont aussi les informations insolites, les scoops, qui font l'audience", prévient Pierre-Yves Platini, président duSocial Media Club, un club de réflexion sur les médias. "Les données statistiques qu'on recueille ne concernent que les sujets déjà traités. Or, les sujets insolites ou les exclusivités sont aussi mis en avant par les agrégateurs comme Google actualités", constate Alice Antheaume, responsable de la prospective à l'école de journalisme de Sciences Po. En février, elle a demandé à ses étudiants de ne rédiger que des articles dont les thèmes émergeaient sur les moteurs de recherche."Au bout de trois jours, ils n'en pouvaient plus d'écrire des sujets sur la neige, car la majorité des demandes des internautes portaient sur la météo !"
Un inconnu revendique 84 % du capital de Facebook
Le plaignant, Paul Ceglia, affirme qu'aux termes d'un contrat qui aurait été conclu avec M. Zuckerberg il y a plus de sept ans, du temps où celui-ci était étudiant à Harvard, 84 % de Facebook lui revient, ainsi que 84 % de toutes les recettes encaissées depuis avril 2003.
"Nous pensons que ces poursuites sont totalement dénuées de tout fondement et nous les combattrons vigoureusement", a déclaré un porte-parole de Facebook. Le 28 avril 2003, soit près d'un an avant le lancement de Facebook, M. Zuckerberg se serait engagé par contrat à se faire rémunérer 1 000 dollars en échange du développement avant le 1er janvier 2004 d'un site Internet, dont le titre aurait été "The Face Book". Il aurait détenu 50 % des parts, le reste revenant à M. Ceglia. Selon ce dernier, dont les liens avec M. Zuckerberg n'ont pas été établis, le contrat prévoyait que sa part monterait de 1 % pour toute journée de retard après le premier janvier 2004, jusqu'à l'achèvement du site. Or Facebook n'a été opérationnel que le 4 février, soit 34 jours plus tard que prévu, ajoute-t-il.
PLAINTE SUSPECTE
D'après un livre paru récemment sur les origines de Facebook, Mark Zuckerberg n'a en fait commencé à travailler sur les premiers sites ayant précédé le lancement du réseau social qu'en septembre 2003, et le nom de domaine "theFacebook.com" a été enregistré en janvier 2004.
La crédibilité de M. Ceglia pourrait être sujette à caution. En 2009, il avait été accusé par la justice de l'Etat de New York d'avoir orchestré une fraude ayant rapporté plus de 200 000 dollars (environ 159 000 euros), en proposant à la vente du combustible de bois qui n'avait jamais été livré.
Certains aspects de la genèse de Facebook restent cependant nébuleux. Mark Zuckerberg, le fondateur et PDG du réseau social, avait été accusé de plagiat par d'anciens collègues de ConnectU, un projet similaire à Facebook auquel il avait participé. L'affaire s'était conclue par un accord à l'amiable confidentiel en 2008.
Les sommes en jeu dans cette affaire sont potentiellement énormes. A l'été 2009, lors d'une prise de participation de la société DST dans Facebook, la capitalisation du réseau social avait été évaluée à 6,5 milliards de dollars (plus de 5 milliards d'euros).
Facebook a estimé que "ces poursuites sont totalement dénuées de tout fondement" et qu'il "les combattra vigoureusement." Le réseau social conteste par ailleurs une mesure conservatoire de la justice new-yorkaise lui interdisant de vendre le moindre actif tant que cette affaire ne serait pas tirée au clair.
Google investit dans le jeu en ligne
D'après les informations recueillies par le site spécialisé TechCrunch, Google aurait investi entre 100 et 200 millions de dollars (entre 80 et 160 millions d'euros) dans Zynga, le géant des jeux sociaux en ligne qui édite notamment Farmville. Un investissement stratégique qui pourrait être la première étape du lancement d'une plate-forme dédiée au jeu.
Avec plus de 250 millions de joueurs revendiqués sur sa plate-forme, Zynga s'est initialement développé en proposant des jeux intégrés à Facebook. Le plus connu, Farmville, rassemble environ 80 millions de joueurs actifs, d'après les chiffres de Zynga, pour une simulation agricole dotée de nombreuses fonctions sociales, comme l'envoi de petits cadeaux à ses "amis".
Confronté à une baisse de fréquentation après la décision de Facebook de limiter certaines fonctionnalités, comme l'envoi de notifications automatiques, l'entreprise cherche depuis plusieurs mois à multiplier les partenariats et les plates-formes, en concluant par exemple un partenariat avec Yahoo! ou en lançant une application iPhone.
Toujours selon Techcrunch, l'investissement de Google dans Zynga devrait aboutir d'ici la fin de l'année au lancement d'une plate-forme de jeux dédiée par le moteur de recherche. Le site se base également sur une petite annonce passée par Google pour le recrutement d'un chef de produit jeux. Fin avril, Google avait également racheté Labpixies, une entreprise spécialisée dans les modules et applications, et notamment les jeux.
Le Monde.fr
Au Royaume-Uni, un "bouton d'alerte" pour Facebook
Les utilisateurs britanniques de Facebook se verront proposer d'ajouter un "bouton d'alerte" à leur compte sur le réseau social, destiné en priorité aux adolescents. Un clic sur le bouton renverra l'internaute vers un site maintenu par le Child Exploitation and Online Protection Centre (CEOP), un service semi-public du gouvernement britannique, proposant des conseils pour éviter les prédateurs sexuels et permettant de signaler un internaute aux autorités.
En Grande-Bretagne, Facebook est dans le collimateur de certaines associations de protection de l'enfance depuis l'assassinat, en octobre dernier, d'une jeune femme de 17 ans par un homme qui l'avait approchée sur le réseau social.
Facebook avait jusqu'alors refusé d'ajouter un bouton d'alerte sur ses pages, préférant financer une campagne d'éducation à destination des adolescents. La solution trouvée est un compromis : le bouton d'alerte existera, mais ne sera pas proposé par défaut aux utilisateurs, qui devront l'installer manuellement. "Il n'y a pas de solution miracle pour rendre l'Internet directement plus sûr", a commenté un porte-parole de Facebook. "Mais en unissant nos forces à celles du CEOP, nous avons abouti à une solution efficace."
Les signalements seront transmis à la fois au CEOP et à Facebook, ce qui fait craindre à certains observateurs que le bouton puisse être détourné de son utilisation première. "Il est inévitable que certaines personnes commettent des erreurs en l'utilisant, et il est même possible que des utilisateurs s'en servent pour humilier ou harceler d'autres personnes", estime le site spécialisé Mashable. "Espérons que des protections efficaces contre ces abus soient intégrées à la version finale du projet."
Le Monde.fr
Une ministre allemande veut un "code de conduite" sur Internet
La ministre allemande à la consommation, Ilse Aigner, souhaite l'établissement d'un code de bonne conduite pour la protection de la vie privée sur Internet, qui s'appliquerait aux géants comme Google et Facebook.
"Nous aurions besoin d'un code d'honneur, une sorte de code de bonne conduite pour l'Internet, dix règles d'or concises et claires", explique la ministre conservatrice dans le quotidien Die Welt. "De telles règles peuvent uniquement provenir de la communauté Internet. Ce serait bien que les utilisateurs fassent eux-mêmes des propositions", souligne Mme Aigner, qui a quitté en juin le réseau social virtuel Facebook pour protester contre ce qu'elle considère être le laxisme de la firme américaine en matière de protection des données.
Tout comme le G27, le groupe qui rassemble les organisations de protection de la vie privée européenne, la ministre juge que Facebook devrait proposer des profils par défaut beaucoup plus protecteurs qu'actuellement. A charge pour les utilisateurs de dévoiler davantage d'informations personnelles s'ils le souhaitent.
LE "PILORI DU XXIe SIÈCLE"
"L'Internet peut devenir le pilori du XXIe siècle", met en garde la ministre, préoccupée par l'évolution de la Toile, où "la réputation précède même un changement d'école". "Cela va d'une photo pernicieuse prise sur le vif à une soirée jusqu'à la propagation ciblée de rumeurs diffamantes", détaille la ministre, qui appelle les enfants à parler en cas de harcèlement moral cybernétique.
La ministre n'évoque cependant pas le vote d'une nouvelle loi sur le sujet, estimant que la Loi fondamentale (la Constitution allemande) protège déjà la confidentialité des communications, et que les textes existant contre le harcèlement doivent naturellement s'appliquer sur Internet comme ailleurs.
Pour se protéger contre ce phénomène, Mme Aigner conseille "de communiquer les insultes au gérant du site Internet, de bloquer l'accès au harceleur et de fournir les preuves d'insultes ou menaces". Sur Internet, "l'offre n'est pas gratuite, nous, en tant qu'utilisateurs, payons avec nos données privées", insiste la ministre.
Google lance un outil de création d'applications Android pour tous
Le logiciel utilise un système de "briques", permettant de combiner des actions (cliquer sur un bouton...), des événements (afficher une image, envoyer un message...).
Pour plus d'info...
samedi 10 juillet 2010
La Chine renouvelle la licence de Google
"Nous sommes ravis d'avoir obtenu le renouvellement annuel de la licence d'exploitation. Nous sommes ravis de pouvoir continuer à fournir des produits et des services à nos utilisateurs", a indiqué un porte-parole de l'entreprise.
BRAS DE FER
Après un long bras de fer avec le gouvernement chinois, Google, se disant excédé par la censure en Chine et les cyberattaques venues de ce pays, avait décidé en mars de ne plus censurer son site en chinois, en redirigeant les visiteurs vers la version de son site hébergée à Hongkong, qui n'est pas soumise aux mêmes règles de censure que le reste de la Chine.
La semaine dernière, peu avant la date de révision de sa licence, le moteur de recherche avait procédé à une nouvelle modification, rétablissant sa page google.cn, mais en lui adjoignant un lien vers la version hébergée à Hongkong.
Le site de partage The pirate bay piraté
La méthode utilisée – une injection SQL – "ne sortait pas de l'ordinaire", d'après les chercheurs, qui notent que "comme tous les sites The Pirate Bay a ses points forts et ses points faibles" en ce qui concerne la sécurité informatique.
Après de multiples rebondissements politiques et judiciaires, les fondateurs de The Pirate Bay ont été condamnés en 2009 à des peines de prison ferme et à de très importants dommages et intérêts pour complicité de téléchargement illégal, une condamnation dont ils ont fait appel.
Peu après l'annonce du piratage du site, The Pirate Bay était inaccessible, ce jeudi. Un message prévenait les visiteurs : "Mise à jour de trucs, sauvegarde de la base de données, bientôt de retour. Au fait, il fait beau dehors, je crois."
La croissance de Facebook ralentit nettement aux Etats-Unis
Le détail par tranche d'âge montre également que chez les 18-44 ans, le réseau social enregistre même un recul, avec 250 000 personnes environ ayant quitté Facebook le mois dernier. Facebook revendique 125 millions d'utilsateurs actifs aux Etats-Unis.
Facebook a probablement été impacté, au moins en partie, par les nombreuses critiquesconcernant sa politique de respect de la vie privée, suivies d'appels à quitter le réseau qui se sont succédé fin mai et début juin.
DES UTILISATRICES "ACCROS"
En revanche, un sondage réalisé par l'institutLightspeed Research auprès d'un échantillon de 1 605 adultes montre que plus du tiers (39 %) des jeunes Américaines s'avouent "accros" à Facebook, dont elle font une utilisation très intensive.
Une nette majorité des femmes de 18-34 ans ont reconnu qu'elles passaient plus de temps à converser en ligne qu'en face à face, et 34 % ont indiqué qu'elles consultaient leur compte Facebook dès qu'elles se réveillaient. Le cinquième (21 %) se réveille même au milieu de la nuit pour consulter le site, et 37 % ont reconnu s'être endormies avec leur portable à la main.
Nokia en appelle à la police russe pour récupérer un prototype de téléphone
Le leader mondial de la téléphonie mobile, Nokia, a fait appel à la police russe pour récupérer un prototype de son prochain téléphone phare, le N8, qu'un site spécialisé s'était procuré. Fin avril, l'entreprise avait publié sur son blog officiel une note titrée "L'un de nos enfants à disparu" demandant à l'éditeur du site de lui rendre le prototype, et expliquant que le modèle en question était encore inabouti.
"Il y a plusieurs semaines, nous avons demandé formellement qu'on nous rende ce téléphone, mais nous n'avons reçu aucune réponse. Nous avons donc contacté les autorités russes pour qu'elles nous aident à récupérer ce qui nous appartient", a expliqué l'entreprise.
Eldar Murtazin, l'éditeur du site qui a publié le test du prototype, affirme sur son blog personnelavoir tenté à plusieurs reprises d'entrer en contact avec Nokia pour leur rendre le téléphone, sans résultats.
L'affaire rappelle celle qui avait entouré le lancement de l'iPhone 4 d'Apple, lorsque le site Gizmodo s'était procuré une première version du téléphone, oubliée dans un bar par un employé d'Apple. Le constructeur avait porté plainte contre le site, ce qui avait abouti à une perquisition chez l'un de ses journalistes.
Puma propose un téléphone à l'énergie solaire
Minute Mode - Pour ceux qui n'ont pas encore cédé à l'iPhone ou au Blackberry, Puma lance un téléphone écologique en partenariat avec Sagem Wireless.
Après la boite à chaussures en matières recyclées, Puma poursuit son engagement en faveur de l'environnement avec un téléphone portable qui a toutes les chances de séduire les sportifs amoureux de la nature. Une heure de soleil permet en effet au panneau solaire placé au dos de l'appareil de téléphoner ou d'écouter de la musique pendant 1h30 ou d'envoyer une trentaine de SMS. A cela s'ajoute un éventail de fonctionnalités (podomètre, compteur de vitesse pour vélo, échange de performances entre amis, chat vidéo...) et un emballage écologique. Après les smartphones, les sportphones?
Puma phone, écran tactile de 2,8 pouces, cellule photovoltaïque avec indicateur de charge, appareil photo de 3,2 megapixel, vidéo, GPS. Prix recommandé 399 euros, disponible prochainement chez les Boutiques Tunisiana
PumaPhone
jeudi 8 juillet 2010
Nouvelle mesure de sécurité sur iTunes après des fraudes
Ce renforcement de la sécurité intervient après qu'Apple a banni un développeur, coupable selon le groupe d'avoir frauduleusement manipulé sa boutique d'applications en ligneApp Store. Les clients devront "entrer plus fréquemment le code de sécurité de leur carte de crédit quand ils font des achats, ou quand ils accèdent à iTunes avec un nouvel ordinateur", a indiqué l'entreprise.
Environ 450 comptes iTunes auraient été piratés en fin de semaine dernière, et utilisés pour acheter des applications éditées par un développeur se présentant comme "Thuat Nguyen". Les sites spécialisés avaient remarqué qu'il se passait quelque chose d'anormal lorsque les applications de ce développeur ont commencé à dominer largement le top 50 des applications de la catégorie "livre" les plus vendues, dépassant des best-sellers comme la série Twilight. Depuis, les applications ont été retirés de l'App Store pour violation des termes du contrat.
Facebook à nouveau accusé d'atteinte à la vie privée en Allemagne
L'autorité de la protection des données sur Internet de la ville-Etat de Hambourg, en Allemagne, a annoncé mercredi avoir ouvert une procédure contre Facebook, accusé d'exploiter les données de personnes qui ne sont pas membres de ce réseau Internet.
Le responsable de la protection des données juge qu'afin de proposer à ses membres une liste de personnes qu'ils sont susceptibles de connaître, Facebook puise obligatoirement dans les répertoires d'adresses des boîtes électroniques de ses membres. "Les données [ainsi obtenues]servent à établir des profils de personnes non membres du réseau", ce qui est "contraire au respect de la protection des données privées", juge l'autorité.
L'autorité soupçonne également Facebook d'"enregistrer durablement" ces données et de les utiliser à des fins publicitaires. Le tout sans que ces tierces personnes en soient averties. Facebook a jusqu'au 11 août pour répondre à ces reproches, et risque une amende si la procédure aboutit.
Dix-neuf sites de paris illégaux menacés de blocage
LEMONDE.FR avec AFP | 07.07.10 | 18h36 • Mis à jour le 07.07.10 | 18h57
L'Autorité de régulation des jeux en ligne (Arjel) a annoncé, mercredi 7 juillet, avoir adressé dix-neuf mises en demeure à des opérateurs illégaux pour cesser leur activité en France.
Dans un communiqué, l'Arjel précise que, dans le cas où ces mises en demeure ne seraient pas suivies d'effet, le tribunal de grande instance de Paris serait saisi en référé pour ordonner le blocage de l'accès à ces sites aux hébergeurs et aux fournisseurs d'accès.
Selon l'Arjel, les premières audiences dans le cadre de cette nouvelle procédure, instituée par la loi du 12 mai 2010 sur les jeux d'argent en ligne, "pourraient intervenir avant la fin de ce mois".
La loi, votée juste avant le début de la Coupe du monde de football, prévoit la légalisation des paris et jeux en ligne pour un nombre limité d'activités (poker, football, rugby...). En contrepartie, les opérateurs souhaitant proposer des paris aux Français doivent obtenir un agrément de l'Arjel. L'autorité peut saisir le tribunal pour demander le blocage des sites accessibles sur le sol français mais ne disposant pas de cet agrément.
Tunisie : Le payement par téléphone c’est pour juillet
Le paiement par téléphone mobile (mobile paiement) est mis en service, à compter du début de ce mois, annonce un communiqué rendu public, lundi, par la Banque centrale de Tunisie (BCT).
Ce service a été développé par «Tunisie-télécom» et «Monétique Tunisie» sous l'égide de la BCT et en collaboration avec d'autres banques de la place. Il est mis en service au profit de certains commerçants à titre d'essai pour deux semaines dans la perspective de son élargissement au plus grand nombre de commerçants et de banques d'autant que son efficacité sera tributaire de l'adhésion du plus grand nombre de clients et de banques.
A cet effet, des réunions de sensibilisation auront lieu à partir du 8 juillet 2010, et cibleront les adhérents opérant aux ministères du Transport et du Commerce et seront ensuite élargies à d'autres départements.
Au début, l'utilisation de ce service se limitera aux commerçants, pharmaciens et propriétaires de taxis membres.
Afin de bénéficier du nouveau service, le commerçant doit y adhérer auprès de sa banque alors que pour le client, il suffit d'accéder au site de www.mobilepayment.com.tn pour en bénéficier gratuitement.
Le nouveau service bénéficie des garanties de sécurité en vigueur dans le monde et sera gratuit pour les clients alors que pour les commerçants, il sera gratuit jusqu'à fin 2010.
Ce service sera ouvert à tous les opérateurs de téléphonie mobile avant la fin de l'année.
Source : TAP
Le MAAWG
Le but poursuivi par le MAAWG est de se battre contre toutes les formes d’abus par email, du genre spam ou phishing. Il a été créé en 2004 grâce à OpenWave qui a réuni un groupe de fournisseurs d’accès internet et des sociétés de télécommunications. Par la suite, d’autres ont rejoint le MAAWG, comme les sociétés qui se battent contre l’invasion des mails dans les boîtes de réception.
Dans les faits, le MAAWG se réunit trois fois par an : 2 réunions en Amérique du Nord et 1 en Europe. Au cours de ces meetings, il est question de sujets sensibles à propos de l’utilisation du mail, du mauvais usage que certaines personnes en font, et comment il pourrait être possible d’enrayer le phénomène du spam. Le but de ces réunions étant bien sûr de provoquer une réflexion commune afin d’apporter une solution à grande échelle aux problèmes posés.
Comme le but est d’éradiquer le spam, il est aussi question de faciliter la dérivabilité des messages dignes d’être reçus, des messages dits légitimes. Et c’est ici que le MAAWG prend tout son sens pour les marketeurs. En effet, si vous êtes capable de respecter les règles de l’e-mailing et que les internautes sont satisfaits de vous, alors vous entrez dans la catégorie des emails légitimes. Le MAAWG assainit donc la chaîne de transmission des emails, et laisse alors le champ libre aux marketeurs qui ont su se faire apprécier et se différencier des imposteurs. Le MAAWG rend donc l’Emailing encore plus performant et plus sûr, cela permet d’accorder un peu plus de confiance au webmarketing, ce qui n’est pas toujours évident pour les internautes au vu des multiples arnaques qui ont cours à travers la toile.
Par ailleurs, le MAAWG, statufie aussi sur la protection des informations personnelles de l’utilisateur, notamment au niveau des réseaux sociaux qui sont sensibles aux spams et au piratage. Au cours des réunions il est aussi question de la sécurisation des réseaux sans fil. Le MAAWG se soucie donc de la sécurité par rapport à internet et cela étendus à tous les domaines.
Pour vous, en tant qu’emaileur, les actualités du MAAWG vous apporteront des renseignements sur les dernières bonnes pratiques de l’emailing ainsi que les statistiques des performances du webmarketing. Bien sûr, toutes les informations données seront à l’échelle internationale, ce qui est un avantage si vous étendez vos campagnes au-delà des frontières. Par ailleurs, le MAAWG, se veut être le précurseur en matière de technologies internet et de télécommunications, si vous suivez donc son évolution, vous réussirez peut-être à avoir un coup d’avance sur la concurrence !
CONCENTRONS-NOUS SUR : L’optimisation de l’expéditeur
Comment optimiser le champ expéditeur? Nous avons vu que cela pouvait rassurer, ou si vous avez fait le choix d’une newsletter sur le modèle « branding », vous assurer l’ouverture et pourquoi pas la lecture de votre mail. Ce champ est donc particulièrement important dans le processus de tri sélectif du lecteur. Ne perdons pas de vue que le rôle essentiel et originel attribué au champ expéditeur est de permettre au lecteur d’identifier l’émetteur du message.
Certaines fois, le concepteur de la lettre d’information préfère utiliser le champ objet pour mettre en avant le contenu du numéro de la newsletter. Dans ce cas là, pourquoi ne pas faire figurer le nom de l’infolettre directement à la place de l’adresse ou du nom de l’expéditeur dans le champ « de ». Techniquement, le texte figurant dans le champ expéditeur peut être différent de l’adresse de réponse. Utiliser un intitulé distinct, est conseillé à la place d’une simple adresse retour du type clients@societe.fr ou pire, mailing@societe.fr. Il est plus pertinent, et plus esthétique, de voir dans le champ expéditeur la mention « MediaTICNews » (pour reprendre notre exemple), que de lire simplement l’adresse MediaTICNews@etc.com. De plus étant donné que l’adresse mail est le format classique dans le champ expéditeur, modifier cette caractéristique en effaçant l’adresse pourra interpeller l’internaute. Tout est bon à prendre !
L’intitulé doit être clair, en accord avec le contenu afin de faciliter la reconnaissance susceptible de provoquer l’ouverture. Celle-ci est d’ailleurs simplifiée si le champ utilisé est maintenu stable dans la durée de votre newsletter. Ne changez pas ce champ au gré de vos envies! Gardez vos surprises pour le contenu du message. Évitez de prendre trop de risques dans cette partie délicate de votre campagne!
Autre argument contre les émetteurs-testeurs-d’objet-invéterés : certaines solutions de messageries classent les messages en fonction du fait que l’adresse d’expédition figure, ou non, dans le carnet d’adresses de l’internaute. Faites-vous une place dans le tri automatique, l’internaute lui fait plutôt confiance!
Il faut également être conscient que les champs "objet" et "expéditeur" n’ont qu’une largeur limitée à l’affichage sur les interfaces de messageries. Ne prenez pas le risque de faire perdre à votre internaute des informations importantes qui incitent à l’ouverture. Il n’y a qu’une seule solution pour vérifier la longueur de ces champs : testez-les. Il faut toujours essayer vos mails sur vous avant d’en faire profiter votre liste de diffusion. Si vous découvrez que l’information est tronquée et que vous pensez qu’il est impossible de réduire le champ en question, assurez-vous, au minimum, que celle-ci est secondaire.
Gardez toujours en mémoire qu’une recette peut marcher un jour et être inefficace le jour suivant. Un bon marketing a pour base la réactivité. Il convient donc de mener dans ce domaine une politique continue de tests et ce d’autant plus que les objets sont très faciles à tester et constituent un levier d’efficacité très important.
Boostez votre taux de clic
Tout d’abord, vous devez savoir que la présentation HTML, de par ses fonctionnalités, contribue à l’augmentation du taux de clic. En effet, contrairement à un mail brut, le format HTML offre de multiples possibilités graphiques. En effet, vous allez pouvoir mettre en valeur certaines parties de votre mail grâce aux couleurs. Dans le même genre, les call-to-action, qui incitent au clic, sont réalisables avec le HTML. Pour inciter au clic, ils doivent être explicites, avec des couleurs et des graphismes accrocheurs, et aussi bien placés, visibles, et à portée de souris immédiatement. Par ailleurs, en ce qui concerne le contenu du mail, étant donné que certains internautes ne lisent pas les mails dans leur intégralité, il est préférable de mettre en première position les informations les plus importantes. Elles seront plus facilement cliquées en début de mail que s’il faut utiliser le défilement vertical pour les lire.
Si vous utilisez le HTML (fortement conseillé), vous devez respecter une certaine présentation. En effet, il est important de conserver la même charte graphique que celle de votre site, dans un souci d’habitude et de familiarisation pour l’abonné. Pour les mêmes raisons et pour que vous soyez reconnu facilement, votre logo doit apparaître tout en haut du mail. Par ailleurs, faites de lui un élément cliquable, en faisant un lien vers votre homepage. Enfin, si vous voulez que les gens cliquent votre mail, il doit y avoir un rapport évident entre le contenu de votre mail et les services ou produits que vous proposez sur votre site. En effet, le clic étant le moyen de lier vos newsletters avec votre site, s’il n’y a pas de rapports alors vos newsletters sont inutiles.
De plus, si vous voulez un parfait rapport entre mail et site, je vous conseille de mettre des liens sur les images que vous utilisez. Premièrement, les images sont beaucoup plus cliquables que du texte, car plus attrayantes visuellement. Pour augmenter l’attraction visuelle, vous pouvez aussi utiliser des images animées de type GIF.
Ceux qui attirent l’attention et qui sont des éléments très cliquables, ce sont les menus à l’intérieur de vos mails. Grâce à eux, vous augmentez la navigation, tout en structurant le mail. Vous pouvez donc insérer des onglets « Promotions », « Nouveautés », etc… Si en plus le menu ressemble à ceux utilisés pour le site, la navigation est encore plus naturelle et facile pour le lecteur.
Enfin, le taux de clic augmentera si l’abonné se sent concerné par l’information qui lui est envoyée. Pour cela, la personnalisation totale des emails se fera grâce à une bonne hygiène de base de données, à une segmentation affinée, un ciblage précis et voire même grâce à un remarketing. Sur ce, je vous laisse mettre en place votre stratégie.
Publicité sur le web--SE POSITIONNER SUR GOOGLE GRATUITEMENT? OUI, C’EST POSSIBLE!
Qu’est-ce que le référencement naturel?
Le référencement naturel est ce qui permet aux sites web de bien se positionner dans les résultats de recherche sur Google. Pour ce faire, les concepteurs doivent, entre autres, judicieusement choisir leurs mots clés.
Comment améliorer son référencement naturel?
Il faut penser au référencement naturel de son site web bien avant sa conception. Ainsi, il sera plus facile de créer une stratégie de “placement” efficace. Pour ce faire, voici les cinq principales étapes.
Étape 1: Acheter un nom de domaine contenant vos mots clés
Un nom de domaine contenant des mots clés pertinents est un atout majeur pour le référencement naturel. Par exemple, si vous parlez de nourriture, il serait futé d’utiliser du vocabulaire culinaire dans votre nom de domaine. Pourquoi? Google accorde plus d’importance aux mots contenus dans un nom de domaine qu’à un simple mot clé.
Étape 2: Choisir les bons mots clés
Il y a plusieurs moyens de choisirs vos mots clés. Vous pouvez premièrement vous fier à votre instinct. Toutefois, ce n’est pas le seul moyen (heureusement!). Vous pouvez également utiliser le générateur de mots clés de Google qui vous proposera, selon votre site, des mots clés pertinents. En tout temps, soyez attentifs aux résultats. Vous pourrez connaître, avec le temps, les mots clés qui vous sont le plus utiles grâce à Google Analytics.
Étape 3: Vérifier si Google connaît notre site web
Afin de pouvoir se positionner sur Google, il faut que le moteur de recherche connaisse l’URL de votre site web. Pour ne pas prendre aucune chance, je vous conseille de l’ajouter vous-même en cliquant ici. De cette manière, vous mentionnerez aux robots de Google d’aller visiter votre site web à nouveau (c’est outil peut s’avérérer également très pertinent lorsque vous faites une importance mise à jour sur votre site).
Étape 4: Utiliser les balises de texte
L’utilisation de balises permet à Google comprendre l’importance de certains de vos mots clés. Ainsi, si vous placez des mots clés dans un titre, ceux-ci influenceront davantage votre référencement que ceux placés au sein de votre texte. Il est donc important d’incorporer vos mots clés dans vos titres!
Étape 5: Faire parler du site web sur d’autres sites
Pour connaître votre PageRank actuel, vous pouvez installer la barre d’outils Google ou bien visiter un site qui se spécialise à cet effet. Le Page Rank est un outil de Google qui lui permet de noter (sur une échelle de 0 à 10) l’importance de votre site web (10 étant très important et 0 aucunement important). Lorsque d’autres sites parlent de votre site web (en mentionnant votre adresse URL), votre page rank augmente. Notion intéressante: plus le page rank du site qui vous réfère est bon, plus le votre sera influencé positivement.
La solution? Faites parler de vous, partout! Participez aux échanges sur des blogues ayant un lien avec le sujet de votre site web, réalisez des publireportage sur des sites de nouvelles important, créez-vous une page sur Facebook, etc. Bref, utilisez votre imagination!
Que faire d’autre pour être bien positionné sur Google?
Outre celles présentées, il y a de nombreuses actuces qui vous permettront d’être vu sur Google. La meilleure façon de les découvrir: expérimenter!
Marketing mobile--PARCE QUE S’ADAPTER À LA NAVIGATION MOBILE DEVIENT IMPÉRATIF
Afin de faciliter la navigation des mobinautes, il est primordial d’adapter votre contenu aux écrans de grandeur modeste et de réduire le besoin en vitesse de la bande passante qui est souvent faible. Pour garantir une plus grande efficacité, le mobile engendre le désavantage de devoir créer une version de votre site Web destinée aux téléphones intelligents, en plus de celle destinée aux postes fixes (ou ordinateurs!).
Quelques pistes de solutions
Pour répondre aux nouvelles exigences de navigation, il vous est possible de créer une adresse comprenant un nom de domaine mobile pour votre site. Elle peut prendre une des formes suivantes : mobile.site.com ou site.mobi (par exemple). Le .mobi est un nom de domaine qui a vu le jour en 2006 et qui est réservé aux sites Web optimisés pour l’affichage depuis un appareil mobile. Par la suite, vous pouvez offrir aux visiteurs de choisir l’affichage mobile. Sur le site d’Infopresse, par exemple, vous pouvez choisir de naviguer sur infopresse.mobi dans le haut de la page Web pour postes fixes.
Également, il est possible de conserver l’adresse de votre site telle qu’elle se trouvait à l’ère pré-mobile et de modifier votre code de programmation afin de détecter les téléphones intelligents et de rediriger automatiquement les accès par appareils mobiles vers un site .mobi. Ce qui est formidable de cette méthode, c’est qu’elle facilite la vie aux visiteurs qui n’ont qu’une adresse à retenir.
Pour les bloggeurs, vous pouvez optimiser l’affichage mobile de votre blogue en utilisant le plugin WordPress WPTouch qui gère l’affichage global de la page et modifie automatiquement vos pages accédées via un téléphone intelligent. Des thèmes complets optimisés pour les iPhone sont également disponibles sur WordPress.
En bref !
Pour l’instant, encore très peu d’entreprises et de particuliers ont recours à ces méthodes afin de garantir une navigation efficace de leur site via un téléphone intelligent. Avec l’augmentation constante du taux de pénétration des téléphones intelligents en Amérique du Nord, les entreprises qui voudront garder une bonne visibilité et demeurer compétitifs devront s’adapter à cette nouvelle réalité en investissant davantage en marketing mobile.
Si vous connaissez d’autres manières d’optimiser les capacités mobiles d’un site Web, n’hésitez pas à commenter cet article !